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Gurman : keynote le 10, sortie des nouveaux iPhone le 20 septembre

Greg Onizuka

Friday 23 August à 21:36

iPhone

On l’attend de pied ferme, elle se profile de plus en plus pour le 10 septembre : Mark Gurman, qu’on ne présente plus pour ses bons plans dans les arcanes de Cupertino, nous confirme la date du keynote présentant les nouveaux iPhone, Apple Watch et AirPods. Il ne reste plus que le carton d’invitation pour l’officialiser.

Le journaliste en profite pour nous rappeler quelques éléments attendus sur les prochains smartphones d’Apple, comme des écrans plus grands pour le Pro et le Pro Max, ainsi que de petites nouveautés comme un bouton dédié pour la prise de photos. Les premières commandes seraient envoyées à partir du 20 septembre.

Portrait-robot des iPhone 16 et 16 Pro : une gamme avec une touche en plus

Portrait-robot des iPhone 16 et 16 Pro : une gamme avec une touche en plus

Toujours selon lui, l’Apple Watch gagnerait plus de changements pour sa 10e itération, comme un boîtier plus fin et un écran plus grand. Les AirPods, eux, verraient l’entrée de gamme revue, et une nouvelle version ayant la fonction de réduction de bruit se calerait entre les AirPods standards et les AirPods Pro.

Les AirPods 4 arriveraient en septembre en deux versions

Les AirPods 4 arriveraient en septembre en deux versions

Les premiers Mac M4 en octobre ?

Les Mac seraient mis à jour dans un keynote à part un peu plus tard, avec plusieurs machines de test croisées sur les réseaux, ayant les identifiants Mac 16,1, 16,2, 16,3 et 16,10. Elles sont, selon les personnes les ayant croisées, toutes basées sur la version de base du M4, à savoir un processeur allant de 8 à 10 cœurs selon la gamme, et de 16 à 32 Go de RAM. Au final, Mark Gurman nous rappelle que cela correspondrait aux Mac mini, MacBook Pro et iMac qu’il subodore pour la première salve de Mac sur processeur M4.

La dernière rumeur concernant les ordinateurs d’Apple voudrait que macOS Sequoia sorte en même temps qu'iOS 18. Par rapport à ce que nous annonce Marc Gurman, les nouveaux systèmes d'exploitation d'Apple, amputés rappelons-le d’Apple Intelligence, sortiraient alors entre le 10 et 20 septembre.

macOS 15 Sequoia pourrait être lancé à la mi-septembre

macOS 15 Sequoia pourrait être lancé à la mi-septembre

Bien entendu, rien de tout cela n’a été confirmé par Apple elle-même, mais tout semble converger vers la même direction depuis quelque temps, et après tout, il ne reste pas bien longtemps avant d’être fixé !

Les iPhone 16 Pro pèseraient le plus lourd dans les commandes d'Apple

Florian Innocente

Friday 23 August à 18:15

iPhone

Les iPhone 16 Pro s'arrogent la part du lion dans les commandes d'Apple auprès de ses fournisseurs et assembleurs, si l'on en croit les chiffres du site sud-coréen The Elec.

iPhone 15 Pro et Pro Max. Image Apple.

Les ordres d'Apple pour la période de la fin d'année donneraient 24,5 millions d'iPhone 16 livrés ; 5,8 millions (seulement) d'iPhone 16 Plus ; 26,6 millions de 16 Pro et 33,2 millions de 16 Pro Max. Les deux modèles Pro pèseraient ainsi pour 67 % du total (90,1 millions d'iPhone de la nouvelle génération). Ça ne surprendra guère, cela fait des années que la gamme Pro est une locomotive pour les ventes, avant que le modèle de base ne monte en puissance sur la durée puisqu'il a vocation à descendre en gamme au fil des renouvellements.

L

L'iPhone 15 Pro Max désigné le modèle de smartphone le plus populaire au début 2024

Cette année, la gamme Pro semble partie pour briller sur au moins deux points : l'agrandissement des diagonales d'écran sur ces deux modèles (seulement) et le zoom optique 5x du 15 Pro Max intégré dans l'iPhone 16 Pro (le nouveau bouton pour les photos et vidéo devrait lui être présent sur tous les 16 et 16 Pro). Deux arguments qui peuvent à eux seuls encourager une préférence pour cette famille.

Détails sur la partie photo des iPhone 16 et 16 Pro

Détails sur la partie photo des iPhone 16 et 16 Pro

Les batteries, le gros point fort des iPhone 16 Pro ?

Les batteries, le gros point fort des iPhone 16 Pro ?

Podcasts : YouTube et Spotify loin devant Apple aux États-Unis

Nicolas Furno

Friday 23 August à 16:44

Services

D’après une étude publiée en juillet dernier par Cumulus Media et signalée par Bloomberg, Apple aurait non seulement perdu la première place du podium au classement des plateformes américaines de podcasts, elle serait même un lointain troisième. YouTube serait dorénavant largement en tête avec 31 % de parts de marché, suivi par Spotify avec 21 % et Apple fermerait la marche avec 12 % seulement. Une inversion par rapport à la situation d’il y a quelques années seulement, où les solutions d’Apple pour s’abonner et lire des podcasts (l’app Podcasts, Musique ou encore iTunes) étaient en tête, avec 29 % d’utilisateurs de podcasts en 2019, selon la même étude.

Graphique Cumulus Media.

Précisons d’emblée que ces chiffres proviennent d’une étude basée sur un sondage effectué auprès de 603 utilisateurs de podcasts qui habitent les États-Unis. S’il ne faut pas prendre ses conclusions pour une science exacte, les rapports de force entre les trois acteurs sont crédibles et surtout, la tendance est certainement véridique. D’ailleurs, Cumulus Media cite deux autres études similaires qui sont arrivées à la même conclusion, ajoutant du crédit à l’idée que YouTube suivi de Spotify seraient désormais les deux plateformes dominantes pour les podcasts.

Apple, qui a pourtant contribué aux podcasts en donnant le « pod » du nom (d’après l’iPod), a longtemps été le plus gros acteur du marché, en tout cas outre-Atlantique. L’iPod d’abord, puis surtout l’iPhone, ont contribué à populariser le format, surtout grâce au catalogue constitué et géré par Apple qui simplifie considérablement la recherche d’un podcast et le téléchargement des nouveaux épisodes. La plateforme d’Apple a toutefois longtemps été fermée à son propre écosystème, ce qui a forcément limité son expansion. Le lancement récent d’Apple Podcasts sur le web répond d’ailleurs peut-être à cette problématique, avec l’envie de s’ouvrir à un public élargi.

Podcasts d

Podcasts d'Apple est disponible en version web

En face, Spotify a commencé à s’intéresser aux podcasts dès 2015, suivant une explosion symbolisée par le succès de Serial, dans la catégorie toujours aussi populaire du true crime. Les podcasts ont rapidement occupé une part croissante de l’offre audio du service, qui a par ailleurs payé cher pour obtenir quelques exclusivités, notamment celui de Joe Rogan pendant quelques années. Petit à petit, l’entreprise ajoute des fonctions similaires à celles du catalogue d’Apple, comme l’ajout récent des commentaires.

Spotify ouvre les commentaires sous les podcasts

Spotify ouvre les commentaires sous les podcasts

Plus significatif, la force de Spotify a toujours été son moteur de suggestion et c’est évidemment encore plus vrai pour YouTube. Le site de streaming n’était pas du tout adapté à l’origine pour les contenus audio diffusés par un flux RSS, néanmoins le format a évolué si bien que les podcasts sont aujourd’hui bien souvent proposés autant en audio qu’en vidéo. Et surtout, il n’y a sans doute pas meilleur algorithme que celui de YouTube, ce qui explique en partie l’attrait de la plateforme pour les amateurs de ce format.

De plus en plus de podcasts sont aussi, voire d’abord, diffusés en vidéo, comme Waveform, le podcast de MKBHD. Image iGeneration.

L’étude suggère que tous les publics sont attirés par YouTube. Le service de streaming de Google est très populaire auprès des nouveaux-venus, définis par Cumulus Media comme ayant découverts les podcasts dans l’année qui précède, mais aussi des plus gros consommateurs, qui écoutent ou regardent plus de six heures de podcasts chaque semaine. En moyenne, YouTube attire davantage les jeunes et l’étude le place logiquement en tête sur la découverte de nouvelles émissions. Ses utilisateurs sont moins sur mobile que Spotify et Apple Podcasts, avec en contrepartie une plus grande part sur les téléviseurs.

C’est quoi qu’il en soit une vraie réussite pour Google, qui n’a peut-être pas fait grand-chose pour atteindre ce résultat, mais qui en profite malgré tout. Son choix d’abandonner son propre lecteur de podcasts au profit de YouTube est en tout cas désormais nettement plus clair : pourquoi conserver ce service dédié, quand on a un autre service bien plus populaire sur le même segment ?

Google est bel et bien en train de tuer Google Podcasts

Google est bel et bien en train de tuer Google Podcasts

Google a tenté de contrôler les premiers tests de ses Pixel 9

Nicolas Furno

Friday 23 August à 14:30

Android

Google a essayé de contrôler les premiers tests de ses Pixel 9, annoncés au cœur de l’été et commercialisés dans les prochaines semaines. Le géant de la recherche l’a notamment fait en bloquant l’accès aux apps de mesures de performances sur sa propre boutique : impossible d’installer Geekbench, 3DMark et les autres, ces apps sont indiquées indisponible sur Google Play, comme l’a relevé un utilisateur sur X. Ce n’est pas nouveau, un représentant de Google avait même confirmé la pratique auprès de 9To5 Google l’an dernier au sujet des Pixel 8.

Impossible d’installer certaines apps de benchmarks sur les Pixel 9, Google bloque cette possibilité sur sa propre boutique. Images @Cartidise@x.

Il faut noter qu’Android étant plus ouvert qu’iOS (pour le moment), on peut toujours installer ces apps en passant par une autre voie que la boutique de Google. Cela reste un frein majeur et une mesure plutôt efficace pour que les performances ne soient pas un sujet dans les premiers tests publiés par la presse qui a la chance de recevoir le matériel en avance. Aucune mention chez The Verge par exemple, uniquement des généralités sans chiffres chez Engadget ou encore une vague évocation rapide chez MKBHD. Ceux qui veulent des données objectives peuvent aisément les obtenir toutefois, comme le test d’ArsTechnica le prouve bien ou bien comme le montrent ces nombreuses données collectées par Android Authority.

En bloquant les outils de mesure, Google essaie de masquer une réalité : ses puces maison ne sont pas très performantes et pire, elle n’évoluent pas. La Tensor G3 de l’an dernier ne brillait pas tellement dans ce domaine et la Tensor G4 de cette année ne fait guère mieux. L’entreprise en a bien conscience, elle a indiqué aux journalistes qui ont reçu des exemplaires que la puce Tensor n’avait pas été pensée « pour la vitesse », ni pour « battre des records sur les benchmarks », mais pour « répondre à [ses] besoins ». Une autre manière de dire qu’il ne faut pas regarder de trop près. De fait, il n’y a rien à voir, avec des performances à peine en hausse et bien éloignées des meilleures sur le marche.

Les nouveaux Pixel Pro font à peine mieux que les anciens dans Geekbench et ils restent de toute manière loin du meilleur de ce que l’on trouve chez Apple (près de 3 000 points sur ce même test pour l’A17 Pro). Image Ars Technica.

Ce qui ne veut pas dire que les Pixel 9 sont lents, tous les tests s’accordent pour dire que ce n’est pas le cas. Il est vrai que les benchmarks ne veulent pas dire grand-chose de l’usage courant, mais c’est la seule manière de comparer des puces différentes entre elles. En bloquant les apps concernées, Google attire finalement plus l’attention sur ses puces correctes sans plus, une sorte d’effet Streisand pour le smartphone. Un effet encore renforcé cette année par la tentative maladroite d’influencer l’avis de quelques influenceurs.

En effet, le programme #TeamPixel mené par Google a demandé à des influenceurs de signer un accord avant de recevoir les nouveaux appareils, comme l’a révélé The Verge. Cet accord leur demandait de ne pas comparer défavorablement les Pixel 9 face à ses concurrents : les comparatifs n’étaient acceptés que si les produits de Google en sortaient gagnants. Si ces influenceurs ne respectaient pas ces termes, ils pouvaient perdre l’accès au programme et par conséquent perdre l’accès régulier et en avance aux smartphones.

Face à la polémique, Google a rapidement supprimé ces conditions, ou plutôt demandé à les supprimer. En effet, le programme #TeamPixel n’est pas géré en interne, l’entreprise travaille avec une agence de relations publiques qui se charge de choisir les participants et d’envoyer les exemplaires. C’est un programme distinct des relations presse de Google qui envoient les Pixels aux journalistes, il est dédié aux personnalités qui ont de larges communautés sur les réseaux sociaux. Malgré tout, cela reste une mauvaise image pour cette gamme qui a toujours bien du mal à trouver sa place sur le marché des smartphones.

Source : Accroche : image Engadget.

Promo : la balance connectée Body Smart de Withings aux couleurs des JO 2024 à 80 € au lieu de 100

Nicolas Furno

Friday 23 August à 11:10

Domotique

Les JO 2024 sont terminés et c’est l’occasion d’économiser sur l’un des nombreux produits dérivés, dont cette balance de Withings. Le fabricant français a créé une variante de sa Body Smart aux couleurs des Jeux Olympiques, un décor spécifique qui reste discret avec le rond métallique au milieu doré et gravé, ainsi qu’un motif « Paris 2024 » sur le fond. Vu de loin, on passerait certainement à côté de l’édition spéciale et cela tombe bien si vous cherchiez une balance connectée pas trop chère.

Image Withings.

La cérémonie d’ouverture passée, il est temps de vider les stocks. C’est pourquoi cette balance vendue en temps normal autour de 100 € est actuellement proposée à 80 €. Pour ce prix, vous aurez la balance connectée milieu de gamme de Withings, un modèle capable de peser jusqu’à huit personnes en les distinguant automatiquement, mais aussi la masse grasse avec suivi de l’évolution de la graisse viscérale et même la fréquence cardiaque.

Si vous voulez un modèle plus sophistiqué, la Body Comp ajoute une évaluation cardovasculaire (vitesse d’onde de pouls et âge vasculaire) et calcule un score de santé nerveuse. Elle est actuellement vendue 160 € au lieu de 200.