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Engagez des robots pour éradiquer vos données personnelles du web 📍

Article sponsorisé

Sunday 08 September à 11:35

Services

Internet, c’est une très belle idée à la base. Mais dans les faits, c’est devenu aussi une jungle, avec des gens malheureusement qui ne sont pas toujours bien intentionnés : arnaques téléphoniques, criblages publicitaires excessifs, tentatives de phishing, escroquerie par SMS… Le point de départ de tout cela, ce sont vos données personnelles, l’or noir du XXIe siècle.

Bien entendu, vous avez appris à vous protéger en configurant correctement vos terminaux, en paramétrant le mieux possible votre navigateur, en utilisant un VPN… Mais malgré tout, ce n’est pas suffisant. Pour utiliser certains services, il faut bien laisser certaines données. Des données que des data brokers souvent sans scrupule (courtiers en données en bon français) n’hésitent pas à exploiter à la moindre occasion. Et puis parfois, vos données se retrouvent dans la nature suite au piratage d’un service. Voici vos données comme votre nom, prénom, adresse postale, adresse email, numéro de téléphone ou bien même votre mot de passe, qui sont échangées sous le manteau pour quelques centimes.

Face à une telle menace, on peut se sentir impuissant, mais des solutions existent. Essayez donc Incogni, la solution de Surfshark spécialement conçu pour bloquer l’activité de ces courtiers en données.

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Comment fonctionne Incogni ?

Comme nous vous le disions plus haut, les data brokers cherchent toujours à amasser plus de données. Ces entreprises ne vous sont peut-être pas familières, il en existe des centaines à travers le monde comme Experian, TransUnion, Oracle Data Cloud, CoreLogic, Data Axle…

Elles cherchent à en savoir le plus possible sur vous : vos habitudes de navigation, vos centres d’intérêt, les services que vous utilisez… Pour elles, vos données sont une vraie poule aux œufs d’or. Surtout si on peut les associer à différentes informations comme votre identité, votre date de naissance, vos adresses email, vos coordonnées postales, votre numéro de sécurité sociale…

Il ne leur reste plus qu’à compiler un beau et joli fichier vendu au prix fort qui fera le bonheur d’entreprises d'investissement, de santé, de finances, de marketing ou de recrutement. Elles peuvent aussi être cédées à des entités inconnues et à des fins diverses. Ces acheteurs de données peuvent très bien être légitimes comme être des escrocs qui pourraient utiliser vos informations pour vous tromper ou voler votre identité pour utiliser vos cartes de crédit.

Retrouver l’anonymat sur Internet

Incogni, c’est une gomme magique en quelque sorte. Pour l’utilisateur, c’est très simple. Il suffit de créer un compte, et de donner quelques informations au service de Surfshark ainsi que de donner votre consentement pour que Incogni travaille pour vous.

À partir des données que vous avez transmises, Incogni établit une liste de courtiers de données susceptibles d’avoir vos informations. Ensuite, leurs robots vont les contacter un par un pour demander la suppression de vos informations et vont périodiquement vérifier que leurs demandes ont bien été traitées. Hélas, c’est un travail sans fin. Vos données peuvent réapparaître à tout moment chez un broker. Mais c’est là l’avantage d’avoir un robot qui travaille pour vous. Régulièrement, les serveurs d’Incogni interrogeront les brokers pour que vos données disparaissent au plus vite.

Pour parvenir à ses fins, l’entreprise recourt aux différentes réglementations en vigueur comme le Règlement général sur la protection des données (RGPD) ou le California Consumer Privacy Act (CCPA). Tout ceci, vous pourriez le faire manuellement.

Mais rendez-vous compte, il faut en moyenne un peu plus de 300 heures pour supprimer une seule fois vos informations personnelles des bases de données des data brokers. Avec Incogni, vous n’avez rien à faire ou presque. Vous pouvez grâce à une console mise à votre disposition suivre l’évolution du travail titanesque des robots d’Incogni.

Le service ne cesse de s’améliorer. Il prend en charge toujours plus de courtiers en données : plus de 175 actuellement, contre 140 l’année dernière. Depuis son lancement, Incogni a permis de supprimer plus de 20 millions de données des différentes bases de données.

Ne perdez pas de temps et faites l’essai. Dès le premier jour de votre inscription et de votre abonnement à Incogni, les demandes de suppression de données sont envoyées à tous les courtiers concernés. Les premiers résultats se matérialisent au bout de quelques semaines.

Vous avez le choix entre deux formules : mensuelles ou annuelles. La dernière est plus pérenne pour lutter contre ce fléau qu’est le commerce de données privées. Mieux encore, elle est actuellement en promotion à -50 % !

👉 Je reprends le contrôle de mes données !

DMA : Meta dévoile l'interopérabilité prévue pour WhatsApp et Messenger

Raoul Miclo

Saturday 07 September à 18:30

Services

Le petit train du DMA se déroule méticuleusement chez Meta et cette fois-ci ce sont les éléments d’interface et de notification qui sont partagés par le propriétaire des deux seules messageries gradées « gatekeeper » par la Commission européenne.

Rappels préalables

Sous DMA, une messagerie qui atteint une masse critique en Union européenne devait présenter au printemps dernier ses principes techniques d’ouverture aux concurrents. Deux années plus tard, un premier niveau d’interopérabilité sera mis en œuvre : messages textuels, chiffrés de bout en bout entre deux personnes (abrégé « 1:1 ») ainsi que le partage d’images, de vocaux, de vidéos ou de fichiers joints d’un groupe vers un utilisateur individuel. Encore deux autres années et elle devra avoir ajouté les appels vocaux et vidéo. L’utilisation de cet accès par les concurrents n’est en rien obligatoire, il devra être une possibilité offerte par le gatekeeper.

Alors que les deux logiciels de communication de Meta utilisent le protocole Signal pour garantir la confidentialité de leurs échanges (comme Threema, Wire ou Signal), un service tiers ne sera pas tenu de le faire comme l’y encourageait initialement Meta. Il pourra proposer son propre système de sécurité des échanges et Meta se donnera 3 mois pour répondre à la demande.

Ce que propose Meta

Ce sont donc les résultats de six mois de réflexion et de recherche qui ont été présentés hier sous la forme de captures d’écrans : un aperçu de ce à quoi ressembleront « les discussions tierces » sur WhatsApp et Messenger. Tout tourne autour de 3 axes : simplicité à trouver et utiliser les messageries tierces, rendre leur gestion personnalisable et autoriser les interactions modernes déjà présentes dans le logiciel (réactions, accusés de réception, etc.). Tout cela en conservant les lignes directrices de design spécifiques aux deux applications.

Whatsapp / Messenger (image Meta)

Nous avions déjà vu qu’une section distincte des conversations sera affichée dans WhatsApp (et donc Messenger) pour recueillir les messages des autres services qui seront branchés. Cela devient une option au cas où l’utilisateur voudrait tout voir fusionné et elle pourra être modifiée plus tard s’il changeait d’avis.

Whatsapp / Messenger(image Meta)

Enfin, l’utilisateur aura à sa disposition les fonctionnalités telles que les réactions, les réponses directes, les indicateurs de frappe et les accusés de lecture.

Image Meta

Malgré ces progrès, Meta prévient que le chemin sera encore long. L’avancée vers les groupes et les appels vocaux pour 2025 et la vidéo en 2027, pour commencer. Mais aussi en continuant « à collaborer avec des services de messagerie tiers afin de fournir l’expérience la plus sûre et la meilleure » par « l’obtention de commentaires de partenaires potentiels et d’autres parties prenantes ». Cela permet d’ouvrir la voie à des évolutions futures d’interface ou de fonctionnement interne.

Aux dernières nouvelles, aucun concurrent ne s’est officiellement ouvert à l'interopérabilité avec Meta : au mois de février, seule Threema avait abordé le sujet, indiquant que la sécurité du système proposé « n’était pas au niveau de ses standards », malgré son utilisation également du protocole Signal.

Apple s’étant ouvert au RCS sur iOS (ajouté à sa compatibilité de base avec le bon vieux SMS), iMessage n’a pas été jugé essentiel pour les utilisateurs professionnels par la Commission européenne. Malgré une quantité significative d’utilisateurs, le service n’a donc pas eu à s’ouvrir plus sur le monde.

Kuo : le modem 5G d’Apple en 2025, enfin ?

Greg Onizuka

Friday 06 September à 20:30

iPhone

Après plusieurs années d’attente, et moult articles sur le sujet, il semble qu’Apple soit enfin sur le point de sortir sa première puce 5G. Enfin ?

Ming-Chi Kuo, souvent bien informé sur les petites cachoteries de la pomme, pense voir arriver les premiers appareils dotés de cette puce courant 2025, avec comme premiers équipés l’iPhone SE4 et l’iPhone 17 Air. Dans un premier temps, la production se calerait sur 35 à 40 millions d’unités, ce qui paraît relativement bas pour les appareils concernés ; Kuo rappelle cependant que ces chiffres ne sont qu’une première estimation et ne reflètent pas forcément la réalité, contrairement à la date de sortie pour laquelle il a bien plus de certitudes.

La route est longue... mais la récompense est grande. Image Apple/MacGeneration.

La production, si tout va bien, monterait ensuite rapidement durant les années suivantes, avec 90 à 110 millions de puces en 2026, et 160 à 180 millions en 2027. Avec de tels chiffres, on peut supposer qu’à terme l’entièreté des gammes iPhone et iPad soient destinées à recevoir le modem 5G de Cupertino.

Si Apple compte bien intégrer ses propres puces dans tous ses appareils connectés en 5G, le chemin pour y parvenir n’a cependant pas été aussi simple que pour la création de son processeur maison. Depuis la reprise de la branche modem 5G d’Intel en 2019, la pomme aura mis presque une décennie pour arriver à ses fins.

Les puces 5G sont un domaine plus complexe encore que celui des CPU, du fait de plusieurs points sensibles et ardus à assimiler :

  • la diversité des équipements des différents opérateurs doit être prise en compte dans sa totalité ou presque, afin de s’assurer que le modem fonctionnera sans encombres dans le monde entier.
  • les différents brevets permettant d’optimiser la vitesse et la frugalité des modems sont jalousement gardés par leurs créateurs, Qualcomm en tête, rendant difficile la création d’un modem compétitif sans passer à la caisse.
  • il serait dangereux de faire passer toute la gamme d’un coup sur la production maison, au risque d’une crise majeure si le modem créé ne répondait pas aux attentes ou était victime d’un bug non rencontré durant les tests.

On comprend ainsi les modèles prévus pour la première salve, l’iPhone SE4 revêtant moins d’importance niveau performances que les iPhone/iPhone Pro, et l’iPhone 17 Air, s’il se confirme, devant avoir une production bien plus facile à gérer en cas de souci que les gammes principales.

WeChat : Apple tance Tencent pour des paiements sans in-apps 🆕

Florian Innocente

Friday 06 September à 15:36

App Store

Apple et Tencent discutent d'un moyen d'encadrer un système où des micropaiements qui passent par l'app du géant chinois échappent aux 30% réclamés par Apple. Ce n'est pas la première fois que cela se produit.

Tencent Holdings, le propriétaire de WeChat, énorme et incontournable plateforme de services en Chine, a confirmé qu'il était en discussion avec Apple pour trouver un moyen de prélever les 30 % exigés pour les apps qui permettent des transactions avec leurs utilisateurs.


Mise à jour le 6 septembre : Apple a validé pour l'App Store une mise à jour de WeChat comportant quelques nouvelles fonctions, rapporte Bloomberg. Les discussions se poursuivent néanmoins pour trouver un terrain d'entente sur un partage des revenus pour les micro-paiements provenant de jeux, des revenus qui échappent à Apple, à son grand dam.


WeChat héberge, parmi une noria d'autres contenus, de petits jeux dont la monétisation ne se fait pas sous la forme d'in-apps contrôlés par Apple. Mais les éditeurs de ces jeux ont trouvé un moyen d'échanger des liens par messagerie pour recevoir des paiements de leurs utilisateurs. Un problème pour Apple, au vu de l'énorme poids de WeChat en Chine. La Pomme est confrontée à un problème similaire avec ByteDance (TikTok).

Chroniques numériques de Chine : voyages dans la galaxie WeChat

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Tencent a déclaré vouloir trouver un terrain d'entente avec Apple sous réserve qu'il soit juste et équilibré, dans le cas contraire c'est le statu quo qui prévaudra, prévient Tencent. En mai et en juin, Apple a menacé ByteDance et Tencent de ne pas valider leurs dernières mises à jour si ces échappatoires n'étaient pas supprimées.

Ce n'est pas la première fois qu'Apple et Tencent débattent de micropaiements. En 2017, c'était à propos de pourboires qui passaient sous le nez d'Apple et qu'elle considérait comme des microtransactions soumises à commission. Tencent répliquait qu'Apple ne comprenait pas bien les us et coutumes du marché chinois. Un accord avait fini par être trouvé.

Chine : Apple connecte ses services à WeChat

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Utilisez-vous la fonction de partage audio sur iPhone ou iPad ?

Florian Innocente

Friday 06 September à 13:30

Sondage

Ces dernières semaines, Beats a soudainement ajouté la fonction de partage audio à d'anciens casques et écouteurs, les amenant à parité d'autres de ses produits et des AirPods. Cette fonction n'est pourtant pas récente puisqu'elle est arrivée dans les bagages d'iOS 13 en 2019 (lire aussi Comment marche le partage audio avec iOS 13).

Le partage audio annoncé à la WWDC19.

Deux personnes sur iPhone ou iPad qui portent des AirPods ou un mélange d'AirPods et de Beats peuvent écouter la même playlist ou l'audio d'un film. C'est une fonction sympa, pratique, peut-être méconnue ou appréciée par une certaine catégorie d'âge.

Quoi qu'il en soit, de plus en plus de produits d'Apple et de Beats peuvent maintenant la proposer (la liste est longue, mais elle n'est pas tenue à jour). Est-ce que vous-même vous utilisez cette fonction de partage audio ?