Apple détaille les dix « complications » pouvant être ajoutées sur les cadrans de l’Apple Watch sur son site :
- réveils ;
- phase de la Lune ;
- minuteur ;
- calendrier ;
- bourse ;
- météo ;
- activité ;
- chronomètre ;
- fuseaux ;
- lever/coucher de Soleil.
Sauf qu’il existe en fait onze complications. La onzième ? Le niveau de la batterie, dont Apple ne devrait pourtant pas avoir honte. Après quelques jours d’utilisation en effet, l’autonomie de l’Apple Watch se révèle agréablement surprenante.
J’ai eu toutes les peines du monde à vider la batterie de mon modèle 42 mm pour effectuer son premier cycle, et n’ai jamais fini la journée sous les 50 % en usage courant. Il est vrai que j’autorise peu d’applications à envoyer des notifications, mais j’ai aussi un week-end particulièrement actif (seules les sessions sportives semblant entamer franchement la batterie) et cette semaine part sur les chapeaux de roue (l’Apple Watch fait un formidable kit mains libres).
Alors que la plupart de mes collègues la scrutent attentivement, j’ai donc décidé de retirer la « complication » niveau de batterie de mon cadran. Ce qui pourrait bien me faire gagner encore plus d’autonomie… car je ne serais pas tenté d’allumer l’écran pour la vérifier.