On a longtemps cru que le numérique était un terrain neutre, un espace fluide où chacun pouvait se mouvoir sans trop de conséquences. Puis on a compris que tout laissait une trace. Et que ces traces, quelqu’un les ramassait. Pas par malveillance, non. Simplement par intérêt. Marchand, surtout.

Les courtiers en données — ou data brokers, si l’anglicisme vous parle davantage — se nourrissent précisément de ce que vous laissez derrière vous. Ils collectent, recoupent, agrègent... Votre adresse, vos achats, vos recherches, vos déplacements. Pas pour vous nuire directement, mais pour vendre votre profil à des tiers qui, eux, auront des idées plus concrètes. Publicité ciblée, démarchage, phishing, voire usurpation si la donnée tombe dans les mauvaises mains.
Incogni, une réponse concrète à un problème systémique
Face à cette mécanique bien huilée, que fait-on ? Pas grand-chose, la plupart du temps. D’abord parce qu’on ignore l’ampleur du phénomène. Ensuite parce que le processus de suppression des données est kafkaïen, pensé pour dissuader les plus téméraires. C’est précisément là qu’‚Incogni entre en scène, non pas comme un gadget de plus dans l’arsenal de la cybersécurité, mais comme un interlocuteur légal, capable de parler le langage des courtiers… et de le retourner contre eux.
Incogni, un principe simple, mais efficace
Le principe est limpide. Vous donnez mandat à Incogni pour agir en votre nom. Eux se chargent d’identifier les courtiers les plus susceptibles de détenir vos données, de leur envoyer une demande de suppression conforme aux lois en vigueur, et de relancer jusqu’à ce que réponse soit donnée. Derrière cette simplicité apparente se cache une mécanique redoutable : automatisée, méthodique, documentée. Un contre-pouvoir, en somme. Silencieux, mais bien réel.

Il faut aussi être lucide : cette démarche n’est pas un one-shot. Le nettoyage, dans ce contexte, est un effort continu. Vos données peuvent réapparaître ailleurs, autrement. Ce n’est pas une guerre éclair, mais un travail d’endurance : et c’est précisément pour cela que l’abonnement annuel a du sens. Parce que la surveillance des courtiers doit être constante. Parce que les requêtes doivent être renouvelées. Parce que la pression, elle, ne peut jamais retomber.
Un tarif accessible pour une année de nettoyage
Côté tarif, Incogni n’avance pas masqué. La formule mensuelle existe, bien sûr, mais elle revient cher à long terme. La version annuelle, elle, est deux fois moins coûteuse, et en ce moment, c’est encore plus net : avec le code SWITCHON, vous obtenez un an de service pour 89,94 €, soit 55 % de réduction sur le prix d’origine.
À cela s’ajoutent 30 jours d’essai, sans engagement, et la possibilité de protéger trois adresses e-mail dès le départ. Autrement dit : rien à perdre, tout à gagner.
Incogni ne prétend pas tout résoudre. Il ne nettoie pas Google, ne modifie pas les résultats de recherche, ne vous rend pas invisible. Ce n’est pas son rôle. Sa mission est ciblée : réduire la circulation de vos données dans les circuits commerciaux les plus intrusifs, là où elles alimentent profilages et démarchages. Et sur ce point, il est efficace !
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