Apple a toujours voulu avoir le plus de contrôle possible sur les composants clés de ses produits. Si cette volonté a toujours été plus ou moins présente dans son histoire, la marque à la pomme a ouvert un nouveau chapitre en 2010 avec le processeur A4 qui équipait le premier iPad.
Une galaxie de puces : de l’A4 au R1
Elle a par la suite intégré son propre circuit graphique et son neural engine dans ses systèmes sur puce, qui font aujourd’hui figure de référence sur le marché. Voilà des années que les iPhone n’ont pas été menacés par la concurrence sur les principaux benchmarks. Les nouvelles puces M3 continuent pour leur part de donner des suées froides à Intel.
Intel pense encore qu'il y a une bataille avec Apple
Si aujourd’hui les « processeurs » M3 ou A17 Pro confèrent à Apple un véritable avantage compétitif, Apple a essayé de reproduire la recette dans bien d’autres domaines. En faisant l’acquisition d’Anobit en 2012, Apple a depuis développé un vrai savoir-faire dans le domaine des contrôleurs SSD, qui lui permet d’afficher des taux de transfert très élevés sur ses terminaux (quand ils ne sont pas bridés).
La longue liste à puces d'Apple
Tant qu’Apple fait la course en tête, c’est tout bénéfice pour elle. Cela …