L’iPad Air au bureau, l’iPad mini à la maison, la répartition est claire. Sauf quand c’est l’inverse… ou les deux à la fois. La Semaine de la presse et des médias dans l’école m’a ainsi donné l’occasion de réfléchir à la manière d’utiliser les deux tablettes de concert, pour définitivement éliminer le besoin d’embarquer un Mac en déplacement.
Sans parler des reportages et des interviews menés au nom de MacGeneration, j’effectue une demi-douzaine de déplacements chaque année, notamment pour réaliser des interventions d’« éducation aux médias et à l’information ». Dans ce cadre, mon Mac a cédé sa place à l’iPad, qui offre une meilleure autonomie dans un format plus réduit.
L’iPad Air se prête volontiers à la modification d’une présentation Keynote au débotté, mais se révèle surtout pendant la projection. Le Magic Keyboard surélève l’écran, et ajoute un deuxième port USB-C. Ce n’est pas un détail : la plupart des dongles sont incapables d’assurer la continuité de la recharge lors de l’utilisation prolongée d’un port HDMI.
Au mieux, la tablette reçoit autant de courant qu’elle en consomme, et se décharge lentement au fil de la journée. Au pire, elle n’est plus du tout alimentée, et rend l’âme après quelques heures de présentation. Le port du clavier permet …