Fitbit avait déjà goûté aux joies des montres connectées avec le Surge, qui restait toutefois un traqueur d’activité avec un écran plus grand que la moyenne. La Blaze, présentée à la faveur du CES, se positionne plus clairement face à l’Apple Watch et aux toquantes Android Wear, mais avec une orientation fitness.
Le produit intègre un écran LCD tactile couleur intégré dans un châssis au design inhabituel avec sa forme hexagonale un rien aplatie, donnant au tout une allure pataude. On se croirait revenu au temps glorieux des premières montres connectées. Le point fort du produit n’est pas à chercher dans son allure, mais plutôt dans ses fonctions sportives : la Blaze mesure en effet les classiques (nombre de pas, calories brûlées…) ainsi que 15 types d’exercices physiques. Fitbit propose des entraînements mis au point par FitStar, une application acquise l’an dernier.
La montre n’a pas besoin qu’on lui précise l’activité du moment : elle saura la reconnaître immédiatement. Elle comporte un cardiofréquencemètre optique, mais pas de GPS, ce qui explique un prix moins élevé (229,95€) que le Surge (249,95 €) qui embarque lui ce composant. Pour se refaire la cerise, Fitbit mise surtout sur les bracelets : le modèle en élastomère coûte 30 $, mais le modèle "maillons" en acier inoxydable est proposé à 130 $. Il est possible de précommander cette nouveauté.