Quip [1.2 – Français – Gratuit – iPhone/iPad – iOS 6 – Quip] ne vient pas de sortir sur l’App Store, mais cette application sortie au cœur de l’été est désormais traduite en français. L’occasion de découvrir cet éditeur de texte collaboratif conçu pour les appareils iOS, mais aussi accessible depuis n’importe quel navigateur internet.
Le service est composé de deux éléments intimement liés. Quip permet de créer des documents texte avec quelques options de mise en page ou encore la possibilité d’insérer des images, des tableaux ou encore des liens. N’attendez pas toutes les fonctions d’un traitement de texte complet façon Pages : les options se résument à des titres et des listes et on est plus proche d’un éditeur Markdown.
L’originalité de ce service est d’associer à ce volet édition de texte un chat. Collaboratif, Quip réunit tous les changements effectués par les différents éditeurs d’un document dans une liste qui fait aussi office de discussion. Tous ceux qui ont accès au fichier peuvent ainsi voir qui a effectué des modifications et surtout les commenter. Le principe des discussions est essentiel dans l’application, si bien que l’on peut accéder aux documents par des dossiers, mais aussi par les différents chats rassemblés sur un écran spécifique (à gauche).
Quip ne réinvente pas la roue et toutes ses fonctions sont déjà présentes dans Google Docs ; ce n’est sans doute pas un hasard si ce sont deux anciens de Google qui ont créé cette société. Le service garde l’avantage d’avoir été conçu pour les appareils mobiles et l’application est plus agréable au quotidien. Restent quelques problèmes, notamment du côté de l’interopérabilité : depuis un appareil iOS, on peut simplement envoyer l’URL d’un document, mais pas l’exporter. Il faut utiliser la version web du service pour exporter les données, mais en PDF uniquement. On aimerait télécharger une version modifiable dans un autre logiciel…
Le service est gratuit, mais il existe aussi une formule payante avec quelques fonctions supplémentaires. Quip Business coûte 12 $ par mois et par utilisateur. Cette version permet notamment de discuter sans document, mais elle augmente aussi le nombre de participants à un projet. Sans payer, on ne peut pas partager un document à plus de cinq ; la formule payante monte à 250 utilisateurs.
Le service est composé de deux éléments intimement liés. Quip permet de créer des documents texte avec quelques options de mise en page ou encore la possibilité d’insérer des images, des tableaux ou encore des liens. N’attendez pas toutes les fonctions d’un traitement de texte complet façon Pages : les options se résument à des titres et des listes et on est plus proche d’un éditeur Markdown.
L’originalité de ce service est d’associer à ce volet édition de texte un chat. Collaboratif, Quip réunit tous les changements effectués par les différents éditeurs d’un document dans une liste qui fait aussi office de discussion. Tous ceux qui ont accès au fichier peuvent ainsi voir qui a effectué des modifications et surtout les commenter. Le principe des discussions est essentiel dans l’application, si bien que l’on peut accéder aux documents par des dossiers, mais aussi par les différents chats rassemblés sur un écran spécifique (à gauche).
Quip ne réinvente pas la roue et toutes ses fonctions sont déjà présentes dans Google Docs ; ce n’est sans doute pas un hasard si ce sont deux anciens de Google qui ont créé cette société. Le service garde l’avantage d’avoir été conçu pour les appareils mobiles et l’application est plus agréable au quotidien. Restent quelques problèmes, notamment du côté de l’interopérabilité : depuis un appareil iOS, on peut simplement envoyer l’URL d’un document, mais pas l’exporter. Il faut utiliser la version web du service pour exporter les données, mais en PDF uniquement. On aimerait télécharger une version modifiable dans un autre logiciel…
Le service est gratuit, mais il existe aussi une formule payante avec quelques fonctions supplémentaires. Quip Business coûte 12 $ par mois et par utilisateur. Cette version permet notamment de discuter sans document, mais elle augmente aussi le nombre de participants à un projet. Sans payer, on ne peut pas partager un document à plus de cinq ; la formule payante monte à 250 utilisateurs. 
