ResearchKit limitait jusqu’à présent ses applications d’études médicales aux seuls États-Unis. C’est désormais terminé avec la nouvelle version de MyHeart Counts : le logiciel développé pour les besoins de l’université de Stanford est désormais disponible en Grande-Bretagne et à Hong-Kong, où elle mesurera l’activité physique et cardiaque des utilisateurs qui le voudront.
L’étude se destine à l’identification des facteurs de risque cardiaque ; aux États-Unis, elle a réuni 41 000 participants, un chiffre qu’aucune étude médicale traditionnelle n’aurait pu obtenir en si peu de temps. Les chercheurs veulent obtenir encore plus de données : ils nourrissent l’ambition de faire de MyHeart Counts la plus grande étude du genre.
La possibilité de voir apparaître une étude ResearchKit en France est plus ténue. La législation en la matière est en effet beaucoup plus restrictive et encadrée.