Un peu plus de trois mois après les premières explosions des batteries de Galaxy Note7, on ignore toujours la raison pour laquelle ces composants se sont montrés si fragiles. Et c’est plutôt inquiétant car cela signifie que le problème pourrait se représenter à nouveau…
Tout accusait les batteries de Samsung SDI, une filiale du conglomérat coréen. Mais après le premier rappel et l’utilisation de batteries ATL, de nouveaux cas d’incendies ont émergé, poussant finalement Samsung à cesser la commercialisation du smartphone qui devait être la vedette des fêtes de fin d’année. En tout et pour tout, Samsung a vendu 4,3 millions de Note7.
Samsung mène évidemment l’enquête et mi-octobre, lors d’un point d’étape, le constructeur admettait ne pas savoir ce qui provoquait ces combustions spontanées. Le constructeur devrait finalement donner le fin mot de l’histoire avant la fin de l’année, ont indiqué des sources proches du dossier au site The Investor. Ces révélations font suite à une relance de l’enquête impulsée le 11 novembre.
De cette enquête dépend aussi l’avenir des unités récupérées par Samsung. Le constructeur aura-t-il la possibilité de recycler des pièces voire des modèles au complet ? Cela parait difficile à croire…