Les vélos à assistance électrique ont un bel avenir devant eux : leur succès ne se dément pas et il est vrai que les aides publiques pour s'équiper à petit prix sont alléchantes. Les constructeurs se bousculent donc au portillon avec leurs offres, à l'instar de Veloretti, un constructeur néerlandais dont la première gamme a la particularité de prendre en charge le réseau Localiser d'Apple.
Si cela vous évoque quelque chose, c'est que le concurrent VanMoof, lui aussi basé aux Pays-Bas, a été le premier constructeur de vélos électriques à se lancer sur ce créneau avec son vélo S3 (lire notre test) ! Au design utilitaire de VanMoof, Veloretti oppose des formes chic et vintage qui ont fière allure.
Les Electric Ivy et Ace sont coulés dans le même moule, ils coûtent d'ailleurs le même prix (2 399 € au lancement, 2 799 € par la suite), mais le premier se destine aux utilisateurs de taille moyenne et le second aux plus grands. Pour le reste, on retrouve le même châssis en aluminium, un écran LED rond sur le guidon, un GPS, des feux avant et arrière LED, et le même poids (21 kg).
Contrairement à son rival, la batterie du vélo est amovible : on peut donc laisser le biclou dehors, et emporter la batterie avec soi pour la recharger tranquillement à la maison. Une batterie d'une capacité de 518 Wh et d'une autonomie pouvant aller jusqu'à 120 km alimente un moteur d'une puissance de 250W (couple de 65 Nm). Les vitesses sont gérées automatiquement par l'Ivy/Ace.
Rayon connectivité, outre un GPS, le vélo prend en charge le Bluetooth, la 3G et la 4G. Et bien sûr, une application mobile complète le tout. Les modèles sont proposés en trois coloris (graphite, noir mat et noir brillant) en Belgique, en Allemagne et aux Pays-Bas, avec une livraison pour fin juillet. Pas un mot sur la France, mais croisons les doigts.
Source : The Verge