B&O Play continue sa descente en gamme avec l’A1. Cette nouvelle enceinte Bluetooth reprend la construction métallique de l’A2 et le format circulaire de l’A9, mais évoque surtout… l’UE Roll.
UE joue sur les contrastes de couleurs et de textures, quand B&O Play ne se départit jamais de sa sobriété danoise, mais les similarités sont frappantes. Comme la Roll en effet, l’A1 prend la forme d’un galet de 13 cm de diamètre, suspendu à une petite lanière.
De billet de blog en films promotionnels, B&O Play cible clairement les mêmes usages… mais pas forcément le même public. Alors qu’UE attaque par le bas, B&O Play tape plus haut. Elle joue sur un autre registre, s’enorgueillissant par exemple d’avoir choisi une matière qui accumulera rayures et chocs au fil de temps, une approche pour le moins originale.
Cette matière, c’est l’aluminium, sous la forme d’un dôme reposant sur une base plastique. En même temps qu’il laisse passer le son à travers ses multiples perforations, il doit protéger efficacement les deux haut-parleurs de l’enceinte, un pour les hautes fréquences et l’autre pour les basses fréquences.
La forme et le volume de l’A1 l’empêcheront de délivrer des basses très amples, mais devraient lui permettre d’offrir un son assez enveloppant. L’application BeoPlay permet même de former une paire d’enceintes stéréo avec deux A1, une fonction qui rappelle là encore UE.
Mais l’A1 se distingue avec son microphone et son port USB-C, qui permet de recharger la grosse batterie assurant 24 heures d’autonomie, deux fois plus que la Roll. Une somme de différences qui explique la différence de la somme à payer : l’A1 est proposée à 249 €.